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Quand le besoin de liberté dépasse la logique de l’argent : changer de carrière pour être heureux

[vc_row][vc_column][vc_column_text]J’écris cet article pour mes belles clientes et toutes celles qui se reconnaîtront dans le fait d’être étouffées par le 9 à 5, celles qui ont déjà fait de nombreux aménagements pour se donner de l’air dans leur vie (travailler un peu moins, travailler sur elles-mêmes, trouver des accommodements raisonnables pour induire plus d’air dans leur quotidien, etc.)… Et qui sont maintenant à la croisée des chemins

L’air qu’elles se donnent est toujours vicié par les conditions de travail dans lesquelles elles vivent. La plupart ne s’en plaignent pas directement, mais elles savent que travailler pour quelqu’un d’autre, refaire quinze fois le même rapport, faire des choses qui n’ont pas de sens… même si la mission initiale de l’entreprise est belle… He bien cela les démotive, leur prend toute leur énergie et les rend tristes ou en colère, selon leur tempérament initial.

Cette croisée des chemins les amène à se dire que la vie ne peut pas être juste de travailler et d’essayer de s’en sortir. La vie, cela doit être autre chose ? OUI et elles le savent.

La plupart caressent un projet d’entrepreneuriat, d’artisanat ou de pigistes. La plupart sont prêtes à sortir de ces milieux pour apporter au monde ce qu’elles ont à exprimer profondément et qui est tellement brimé depuis des années …. qu’il risque de sortir d’un coup !

La plupart pourtant ont peur de la précarité financière si elles se donnent le droit à cette liberté dont elles ont tellement besoin, la plupart ont peur d’être égoïstes si elles choisissent leur bonheur personnel au détriment de la santé financière de la famille, la plupart se demandent ce que va dire belle maman / le voisin / les collègues / les bons amis si elles se mettent à ne plus incarner la maman «moderne du XXIe siècle». La plupart pensent en termes de finances alors qu’au plus profond d’elles-mêmes ce sont d’abord les valeurs de liberté, de famille, de simplicité qui semblent primer (peut-être est ce cela, la vraie maman du XXIe siècle ?)

La plupart sont donc dans un questionnement inextricable qui les amène à venir me voir. La plupart pleurent la première séance, la plupart savent ce qu’elles veulent pourtant, mais ne peuvent pas passer à l’action ou du moins pas encore.

Comment les aider ? Chacune est unique et je ne pourrai donner une recette parfaite, surtout que les blocages des unes diffèrent fortement des blocages des autres. Toutefois, dans ce que je comprends des solutions qui ont été viables jusqu’à présent, on retrouve :

  • On ne pense pas le projet toute seule ! On en fait un projet de famille et inclure le conjoint et les enfants pour que rejaillisse sur toute la famille les bienfaits qui ressortiront  de la nouvelle vie de maman. Elle contribuera par exemple à la famille avec son temps / son énergie et sa bonne humeur renouvellés
  • Si on gagne moins, on dépense moins… du coup on regarde où couper en étant créatif et en faisant appel à un pro dans le domaine
  • On fait un travail sur ses valeurs pour savoir ce qui compte prioritairement pour soi. La famille ? La carrière ? etc. Par exemple, je sais que mon chum a comme valeur première le fait de «bâtir¢, cela me donne un bon indice que son travail est important pour lui et que l’on n’aura pas 5 enfants ! Pour moi, ma valeur c’est la liberté, je la trouve dans un monde de fonctionnement ou je me donne beaucoup de temps pour faire les choses à ma manière.
  • On se donne un nouveau souffle en aménageant son temps de travail – si c’est possible – pour laisser un espace pour permettre à sa nouvelle passion de pousser. Par exemple, j’ai une cliente qui fait maintenant du 2 jours semaines dans une Université et le reste du temps elle enseigne le Yoga à des petits enfants.
  • On cherche des modèles ! Des personnes avec une vie simple qui ont quitté un travail déplaisant pour se lancer dans leur passion ou alors qui ont toujours vécu de leur art. J’ai en tête une bonne amie à moi qui s’occupe admirablement bien de ses enfants, tout en s’aménageant un horaire de pigiste dans le monde de la rédaction qui lui laisse aussi du temps pour voir son cheval. Ils ont fait des choix de vie en conséquence, mais elle sait qu’elle ne retournera pas dans un cadre rigide de travail.

Si jepeux vous aider à y voir plus clair, dans votre situation personnelle, n’hésitez pas à m’écrire ou m’appeler pour prendre rendez-vous, je serai là !

418 380 4596 ou mel@LetitbeMeditation.com

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